Théâtre national de Wiesbaden - Saison 2025/26
La saison 2025/26 du Théâtre national de Hesse à Wiesbaden est placée sous le signe du dialogue. La vente des billets pour le Grand Théâtre - à l'exception de la pièce familiale - et les concerts au Kurhaus débutera le 13 mai.
La diversité dans le théâtre musical
Le coup d'envoi de la saison au Grand Théâtre sera donné le 30 août par le concert "Summertime - Broadway in concert" avec les solistes vocaux de l'ensemble et l'orchestre national de Hesse sous la direction de Leo McFall. Au programme, des classiques de Broadway et des chansons de Leonard Bernstein, George Gershwin et d'autres. Le 1er novembre, la première du théâtre musical au Grand Théâtre sera "La traviata" de Giuseppe Verdi dans la mise en scène du metteur en scène belge Tom Goossens, qui travaille pour la première fois en Allemagne après des mises en scène acclamées à Gand, Anvers et Rotterdam. Le GMD et spécialiste de Verdi Leo McFall est au pupitre.
Le 6 décembre suivra la première de l'opérette "Alles Liebe ! - Eine queere Landoperette" : l'œuvre lauréate du concours Reinhold Otto Mayer doté de 50.000 euros de la compositrice Misha Cvijović sera mise en scène par Anna Weber, qui revient au Théâtre national de Hesse après "Fantasio" de Jacques Offenbach. L'opéra de Nikolaï Rimski-Korsakov "Flocon de neige", dont la première aura lieu le 24 janvier au Grand Théâtre, est une véritable fête des couleurs orchestrales. Le metteur en scène russe Maxim Didenko lit cet opéra comme une parabole sur une société figée dans le froid social et les catastrophes écologiques. La direction musicale est assurée par Leo McFall.
Avec "La Mamma !", la série de pièces de théâtre qui cherchent une proximité immédiate avec le public sur l'avant-scène se poursuit le 7 février. La comédie de Gaetano Donizetti, dans une mise en scène de Wolfgang Nägele, fait du théâtre lui-même son sujet et offre un rôle de choix au membre de la troupe Hovhannes Karapetyan dans le rôle de Mamma Agata. Le metteur en scène et scénographe Ersan Mondtag revient à Wiesbaden après "Double Serpent" - invité aux rencontres théâtrales de Berlin en 2025 : il met en scène l'opéra de Walter Braunfels "Die Vögel" de 1920, chargé de critique politique et sociale, sur un sujet d'Aristophane et examine les références aux rêves utopiques actuels. À partir du 21 mars au Grand Théâtre.
La nouvelle production de Marie-Ève Signeyrole de "Così fan tutte" de Wolfgang Amadeus Mozart arrive de Lyon à Wiesbaden à partir du 17 juin. La Française, connue pour son utilisation virtuose du cinéma sur la scène du théâtre, a mis au point une mise en scène spécifique au lieu, dans laquelle 20 couples de Wiesbaden sont assis sur la scène à chaque représentation et font partie de l'action.
L'ouverture du Festival international de mai 2026, le 1er mai, présentera "Tristan et Isolde", une œuvre de Richard Wagner, compositeur central pour le festival. La mise en scène de Tiago Rodrigues, conçue par le directeur du Festival d'Avignon pour l'Opéra national de Lorraine, aborde cet opéra et son thème indicible de l'amour impossible d'un point de vue français et intellectuel.
Sur la scène du studio, trois productions qui repoussent les limites de ce que peut être le théâtre musical et qui pensent de manière interdisciplinaire ont été créées : la première "Isithunzi" de la compositrice sud-africaine Monthati Masebe et d'après un texte de l'auteure d'Afro Fiction Shanice Ndlovu aura lieu le 22 mai en coopération avec la Biennale de Munich - Festival pour le nouveau théâtre musical. "Josefine" d'après la nouvelle "Josefine, die Sängerin oder Das Volk
der Mäuse" de Franz Kafka est un théâtre musical pluridisciplinaire de Clara Freitag, diplômée en mise en scène, que l'on pourra découvrir à partir du 13 décembre. Dans la double soirée "The Telephone / Il combattimento" (Gian Carlo Menotti / Claudio Monteverdi), Kilian Bohnensack fait le lien entre l'archaïsme et la modernité à partir du 18 octobre.
Grands metteurs en scène et thèmes d'actualité en art dramatique
La saison des spectacles sera ouverte le 12 septembre au Kleines Haus par la metteuse en scène Sara Ostertag, qui poursuit avec "Monique bricht aus" son étude d'Édouard Louis. La première représentation en langue allemande est la continuation de l'histoire de la libération de sa mère, qui a commencé avec "La liberté d'une femme". Les travaux d'Ostertag ont été récompensés, entre autres, par le prix Nestroy. Dans la Grande Maison, le metteur en scène Luk Perceval, maintes fois primé, adaptera "Mephisto" de Klaus Mann pour la scène. Perceval fait partie des metteurs en scène les plus marquants de notre époque. Ses œuvres ont été présentées au Theatertreffen de Berlin et ont reçu de nombreux prix (DER FAUST, Goldene Maske, Heddaprisen). La première aura lieu le 11 octobre.
À partir du 21 février, le classique de Shakespeare "Roméo et Juliette" prendra possession de la scène du Grand Théâtre dans une mise en scène de Charlotte Sprenger qui, avec son esthétique pop très particulière, fait entrer la littérature canonisée dans le monde contemporain. Sprenger a mis en scène dans de nombreuses maisons renommées, dont le Thalia Theater de Hambourg et le Deutsches Theater de Berlin.
Le metteur en scène de théâtre géorgien Mikheil Charkviani, qui a cofondé en 2016 le centre artistique Open Space à Tbilissi, mettra en scène "Antigone" d'après Sophocle de Roland Schimmelpfennig dans la Petite Maison. Dans ses travaux documentaires, il aborde des thèmes politiques et la résistance. La première aura lieu le 24 octobre.
Le metteur en scène de théâtre et d'opéra Jan Bosse met en scène "Entrückt" de Lucy Kirkwood. Cette pièce sur les théories du complot et la méfiance politique à l'ère (post)covidique sera jouée à partir du 22 novembre sur la scène du Kleines Haus. Bosse a été metteur en scène maison au Deutsches Schauspiel de Hambourg et au Maxim-Gorki-Theater. Quatre de ses mises en scène dans des maisons comme le Burgtheater de Vienne et le Schauspielhaus de Zurich ont été invitées au Theatertreffen de Berlin.
Après "Woyzeck", Stefan Pucher poursuit son exploration de Georg Büchner en présentant "Léonce et Lena" sur la scène du Kleines Haus à partir du 30 janvier. Pucher associe son intérêt pour le texte à un spectacle scénique pop et musical. On peut voir ses œuvres entre autres au Deutsches Theater et à la Volksbühne à Berlin, au Thalia Theater et au Burgtheater de Vienne.
Les productions de Theresa Thomasberger se distinguent par leur approche féministe des thèmes actuels et ont été nominées pour plusieurs prix Nestroy. Avec la première allemande de "2Über die Notwendigkeit, dass ein See verschwinden" d'Anna Neata, elle met en scène à partir du 17 avril un sujet qui, outre les thèmes environnementaux, soulève la question de l'attitude de la société face aux féminicides.
Le metteur en scène hongrois András Dömötör mettra en scène un projet pluridisciplinaire dont la première aura lieu le 14 mai. Dömötör met en scène au Schauspiel Hannover, au Deutsches Theater Berlin, au Katona József Theater de Budapest et a fait ses débuts récemment au Schauspielhaus de Hambourg.
La coopération avec l'École supérieure de musique et d'art dramatique de Francfort se poursuivra au cours de la saison 2025/26 : Avec "Zwei Soldaten" (Deux soldats), Julia Gudi, diplômée en mise en scène, créera à partir du 12 mars au Studio une pièce de théâtre de Maria Lazar, dont l'œuvre a longtemps été considérée comme perdue. En outre, les deux étudiants en art dramatique Hannah Lindner et Kevin Krougliak feront partie de la troupe d'acteurs dans le cadre de l'année du studio.
Des écritures chorégraphiques fortes en danse
Dès le début de la saison, le 6 septembre, le Hessisches Staatsballett présente sur la scène du Grand Théâtre le "Corps de Walk" de Sharon Eyal, un jalon de l'histoire récente de la danse contemporaine. Dans une esthétique futuriste et avec une bande-son hypnotique, où se rencontrent les rythmes techno et la musique classique, la pièce raconte le pouvoir de séduction de la masse. Près de 15 ans après sa création par la compagnie de danse norvégienne Carte Blanche, l'œuvre de la chorégraphe israélienne et de son partenaire Gai Behar fait l'objet d'une nouvelle répétition par le Hessisches Staatsballett.
Un autre point fort sera la création de "Cantos" du chorégraphe polonais Maciej Kuźmiński le 5 décembre au Kleines Haus. Kuźmiński y développe une pièce de danse sur la musique du chef-d'œuvre minimaliste de Simeon ten Holt, "Canto Ostinato". La chorégraphie s'étend sur un large éventail de concepts, dont celui de l'"élan vital" d'Henri Bergson, de réflexions sur les systèmes quantiques, les mathématiques pures et le poète Dante.
Le 2 avril, "Become Ocean", du duo émergent taïwano-hongrois, sera présenté.
LEE\VAKULYA (Chen-Wei Lee et Zoltán Vakulya) fêtera sa première au Grand Théâtre. Inspirée de l'œuvre orchestrale éponyme de John Luther Adams, qui a remporté le prix Pulitzer en 2014, cette pièce déploie une méditation dansée sur le changement, la force de la nature et la beauté dans le flux de la vie.
Outre les créations personnelles, "Motion Creation Design" sera le fruit d'une coopération avec la filière "Expanded Media" de l'École supérieure de Darmstadt, dirigée par le professeur Thorsten Greiner, ainsi qu'avec des lieux d'exposition de la région sur le thème de la danse et de l'intelligence artificielle. Le projet sera présenté sous la forme d'une série d'expositions interactives, comprenant également des performances en direct avec des danseurs* du Hessisches Staatsballett. Le coup d'envoi sera donné en mars au Kunsthaus de Wiesbaden.
Par ailleurs, Wiesbaden accueillera à nouveau une série d'artistes invités passionnants, notamment dans le cadre de la 10e édition du festival de danse Rhein-Main, qui se tiendra du 30 octobre au 15 novembre. L'artiste en vedette est le chorégraphe français de renom Rachid Ouramdane.
Des invités de marque et des formats participatifs en concert
Sur les huit concerts symphoniques de l'Orchestre d'État de Hesse de Wiesbaden, quatre sont placés cette saison sous la direction du directeur musical Leo McFall. Les œuvres centrales de ces programmes sont, entre autres, la symphonie n° 7 en ré mineur d'Antonín Dvořák lors du 1er concert symphonique (3 septembre), la symphonie n° 8 en ut mineur de Dmitri Chostakovitch lors du 2e concert symphonique (19 novembre), la 3e symphonie de Johannes Brahms composée à Wiesbaden ainsi que la symphonie n° 1 en ré majeur de Sergei Prokofiev lors du 3e concert symphonique (17 décembre). Leo McFall dirigera également le traditionnel concert du Nouvel An (1er janvier).
Leo McFall a engagé pour cette saison des solistes de renommée internationale, comme le pianiste Gerhard Oppitz pour le 3e concerto pour piano de Beethoven avec la chef d'orchestre Anna-Maria Helsing dans le 5e concert symphonique (4 mars) ou la guitariste d'exception Laura Lootens pour un programme de concert dansant dans le 4e concert symphonique (11 février), qui a été confié à l'ancien 1er violon de l'orchestre.
Kapellmeister Chin-Chao Lin revient à Wiesbaden.
La star française du piano David Fray sera présente avec le concerto pour piano n° 24 KV 491 de Mozart dans le 1er concert symphonique. La mezzo-soprano irlandaise Paula Murrihy chantera les lieder de Mahler tirés de "Des Knaben Wunderhorn" dans le deuxième concert symphonique.
Avec le concerto pour alto et orchestre de William Walton et l'altiste Eleanor Kendra James, la tradition de présenter en solo des instrumentistes de l'Orchestre national de Hesse de Wiesbaden se poursuit dans le cadre du 3e concert symphonique. Attilio Cremonesi est une figure établie dans le domaine de la musique ancienne. Il dirigera le Hessische Staatsorchester pour le 6e concert symphonique (15.04.) avec un programme composé entre autres d'œuvres de Christoph Willibald Gluck, Carl Philipp Emanuel Bach et Joseph Haydn.
Leo McFall a invité un invité spécial pour le 7e concert symphonique (20 mai) dans le cadre du Maifestspiele et de la 1ère symphonie de Mahler : l'ancien directeur musical du Hessisches Staatstheater Jonathan Nott. Parti de Wiesbaden pour entamer une carrière mondiale, il a travaillé avec tous les grands orchestres internationaux et est actuellement, entre autres, directeur musical de l'Orchestre symphonique de Tokyo et chef principal de l'Orchestre de la Suisse romande. Parmi les enregistrements exceptionnels dont il est responsable, on trouve une intégrale des œuvres de György Ligeti avec l'Orchestre philharmonique de Berlin.
La fête du 8e concert symphonique (28 juin) constitue un concert phare, au cours duquel toutes les sections du Théâtre national imaginent à nouveau des programmes et des surprises musicales sur toutes les scènes disponibles du bâtiment. Le thème "Planètes" est tiré de la suite du même nom de Gustav Holst, dont des extraits seront joués dans le cadre du projet "Pupitres partagés". Dans le cadre de ce projet, des amateurs de tous âges font de la musique avec les professionnels de l'Orchestre de Hesse.
Orchestre d'État. Le concert réunit le chœur de la ville de Wiesbaden et le chœur du Hessisches Staatstheater pour la "Serenade to Music" de Ralph Vaughan Williams et le "Te Deum" de Bruckner.
Après le grand succès de "Mitten im Klang", ce format particulier sera reconduit le 1er octobre : Sur des poufs au parterre du Kurhaus, entre les musiciens du Hessisches Staatsorchester, on prend cette fois place au milieu du son de la symphonie n° 5 en mi mineur de Pierre Tchaïkovski. Le concert se déroulera à nouveau sous la forme d'un after-work et le matin pour les classes scolaires.
En outre, l'association de musique de chambre du Hessisches Staatsorchester propose une grande diversité musicale dans le cadre de sept concerts de chambre, de concerts de chambre de Noël et de concerts de chambre du Nouvel An.
Expérience théâtrale et diversité de la participation au Jeune Théâtre National
Une pièce familiale avec musique live et magie théâtrale, "Der satanarchäolügenialkohöllische Wunschpunsch" (6+) de Michael Ende, est un classique du livre pour enfants qui sera présenté sur la scène du Grand Théâtre à partir du 16 novembre. La mise en scène est assurée par la célèbre metteuse en scène Hanna Müller. Dans la Wartburg, la saison JUST s'ouvre le 21 septembre avec la première représentation de l'adaptation de livre pour enfants "Die Königin die Frösche" (5+) de Davide Cali et Marco Soma. Des musiciens de l'orchestre de l'État de Hesse et des acteurs de l'ensemble JUST interpréteront cette fable encourageante sur l'égalité et la justice dans une mise en scène d'Ulduz Ashraf
Gandomi et avec la musique de la jeune compositrice Laris Bäucker.
Emel Aydoğdu présente son spectacle dans le programme "Nah dran ! Neue Stücke für das Kindertheater", le texte "Wenn Wolken wachsen" (Quand les nuages grandissent) est repris par le Jeune Théâtre de Düsseldorf et présenté sur la scène du château de Wartburg. La première de ce théâtre narratif poétique (3+) aura lieu le 15 janvier.
"Troja !" (10+) de Henner Kallmeyer traite d'un sujet qui préoccupe également les jeunes : Pourquoi les guerres sont-elles menées et comment pouvons-nous nous rencontrer avec humanité et amour ? Le texte a reçu le prix du jury jeunesse lors des Journées théâtrales de Mülheim 2024 et est mis en scène par Milan Gather. Il sera présenté en première le 26 février. Pour les jeunes (13+), Mia Constantine portera le roman graphique de Liv Strömquist "Im Spiegelsaal" sur la scène du Wartburg à partir du 8 mai : un regard satirique et divertissant sur les idéaux de beauté, les images corporelles et les médias sociaux.
Avec "La ferme des animaux" (à partir du 18 avril à la Wartburg), d'après George Orwell, les citoyens de la ville et des environs ont la possibilité de monter eux-mêmes sur scène dans des conditions professionnelles. La troupe intergénérationnelle développera ensemble sa propre version de ce sujet politique sous la direction d'Emel Aydoğdu. Des personnes passionnées de musique sont également recherchées. Ainsi, le "Wiesbaden Band", dans lequel se sont déjà réunis cette saison des Wiesbadenois* d'horizons musicaux très différents, fera également partie de la mise en scène.
Un vaste programme de concerts pour le jeune public complète l'offre : Dans les représentations scolaires et familiales de "Wann kommst du geschneit ? - Ein Winter-Warte-Konzert" (6+), le 9 et le 28 novembre, le Hessische Staatsorchester, sous la direction musicale du nouveau premier chef d'orchestre Paul Taubitz, transformera la Grande Maison en un rêve hivernal.
"Mitten im Klang" (11+) invite le 1er octobre les classes à découvrir de près la symphonie n° 5 en mi mineur de Pierre Tchaïkovski sous la forme d'un concert sur coussin d'assise. Deux concerts de chambre pour enfants (5+), ainsi que la série de concerts pour bébés "Frères, viens danser avec moi" (0-3 ans) s'adressent aux tout-petits.
De nombreuses offres invitent à découvrir le théâtre dans les coulisses, en échangeant ensemble ou en montant soi-même sur scène. Pour cela, le Théâtre national de Hesse travaille dans le cadre de nombreuses coopérations, notamment avec Kultur Mittendrin, Justus Wiesbaden e.V., l'Université populaire et le jeune collectif de scènes ouvertes Leader of the New Generation.
Cette saison encore, différents clubs permettront de découvrir le théâtre et d'être créatif ensemble. Pour toutes les générations, les offres sont aussi variées que les thèmes. Ainsi, le club "How to be a woman - Dance and act like nobody is watching", en coopération avec le ZONTA Club Wiesbaden, s'adresse aux femmes de 16 à 60 ans. Le club "How to make impact" a lieu en collaboration avec JiZ (Jugend im Zentrum) et crée un espace dans lequel les jeunes (13 à 18 ans) découvrent le théâtre et participent à sa création.
peuvent participer à la création.
Par ailleurs, les journées du théâtre scolaire, qui se dérouleront du 16 au 20 mars, permettront à nouveau à des centaines d'enfants et de jeunes de présenter leurs spectacles au Théâtre national.
La jeune comédie musicale de l'État
La Junge Staatsmusical, sous la direction d'Iris Limbarth, présente également deux premières cette saison : "Jekyll & Hyde" (14+), d'après le récit de Robert Louis Stevenson, est une grande comédie musicale du compositeur primé de Broadway Frank Wildhorn et son histoire abyssale du scientifique Dr Jekyll et de son alter ego maléfique Mr Hyde. La première aura lieu le 27 septembre au Kleines Haus.
"Alice by heart" (12+) de Duncan Sheik et Steven Sater allie profondeur et légèreté, car dans la nouvelle œuvre des créateurs de "Spring Awakening", récompensés par un Tony et un Grammy, l'histoire d'"Alice au pays des merveilles" ouvre à une jeune fille, pendant la Seconde Guerre mondiale, un monde imaginaire qui l'aide à faire face à une réalité menaçante. "Alice by heart" est à découvrir à partir du 14 février à la Wartburg.
Le casting annuel permettra à nouveau aux jeunes talentueux de participer aux prochaines productions les 13 et 14 décembre.